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La saison de Tayeb BERRAMLA [28]

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La saison de Tayeb BERRAMLA [28] Empty La saison de Tayeb BERRAMLA [28]

Message par espoir Ven 13 Juil - 20:09

La saison 2007/2008
Tayeb BERAMLA (23 ans) [ Milieu offensif ]
Né le : 06/01/1985 à Oran (Algérie)

Parcours:

2007->2008 : JS Kabylie (D1)
2006->2007 : ASM Oran (D1)
2003->2006 : ASM Oran (D2)
2001->2003 : ASM Oran (D1)

Il avait signé pour 2 ans cet été, donc il sera libre fin juin 2009

A vos clavier...


Dernière édition par espoir le Jeu 13 Mar - 1:11, édité 4 fois
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La saison de Tayeb BERRAMLA [28] Empty Re: La saison de Tayeb BERRAMLA [28]

Message par espoir Jeu 11 Oct - 14:43

La saison de Tayeb BERRAMLA [28] 11102007berramlakk7

Berramla crève l’écran : La JSK tient son patron
Tayeb Berramla a crevé l’écran lors du dernier match livré par la JSK à Oran. Le prodige de M’dina J’dida a étalé une classe et un culot qui ont fait dire à beaucoup que Saïb tient en lui un meneur de jeu et un «façonnier» de spectacle de haute voltige. Aujourd’hui, les fans kabyles se régalent à chaque apparition de l’Oranais, mais ils sont peut-être très rares à connaître les coulisses d’un transfert pas comme les autres, que nous vous livrons dans ces lignes.
Etant l’une des révélations de l’ASMO, Tayeb Berramla (22 ans) a focalisé sur lui l’attention de plusieurs clubs, notamment le MCO, le CRB, l’ESS, le PAC et la JSK. Finalement, c’est le club kabyle qu’il a choisi. D’ailleurs, il fut le premier joueur du championnat algérien à décider de sa future destination, plusieurs semaines avant le baisser de rideau. Le capitaine asémiste ne voulait sûrement pas rater l’opportunité de jouer pour l’un des grands clubs d’Algérie et même du continent. Néanmoins, il ne faut pas croire que seul l’aspect sportif a pesé dans son choix. Hannachi, admiratif devant les qualités techniques et morales de Berramla, n’a pas lésiné sur les moyens pour le convaincre.
Hannachi, l’œil du connaisseur
Le président kabyle a toujours déclaré que les footballeurs locaux peuvent eux aussi figurer dans les sélections nationales espoirs et A. Quand il cite les noms d’éléments susceptibles d’être sélectionnés, il n’a jamais omis de parler de Berramla. Déjà, les observateurs y voyaient un signe précurseur. Dirigeant aguerri, ayant roulé sa bosse dans le football national, Hannachi ne fait jamais les choses fortuitement. Il avait une idée derrière la tête, c’est-à-dire transmettre à Berramla, par le biais de la presse, qu’il reconnaît et admire son talent. C’est dire si cet élément était dans le collimateur des Kabyles depuis longtemps. Alors arrive ce match ASMO - JSK (0-2) disputé au printemps dernier, rencontre au cours de laquelle Hannachi tombe carrément sous le charme de Berramla. «La façon avec laquelle il a joué m’a encouragé à le recruter immédiatement. D’ailleurs, à l’issue du match, j’ai demandé à Benhamlat d’entreprendre des contacts avec lui», révélera Hannachi plus tard. Effectivement, dès le coup de sifflet final, le manager de la JSK sonde le capitaine asémiste. «J’avoue que la première fois, j’étais un peu déprimé après notre défaite, mais par correction j’ai demandé à Benhamlat de reporter l’entrevue à un peu plus tard», indiquera Berramla. Soucieux de gagner du temps, les Kabyles avaient l’intention de finaliser avec le joueur qui, à l’approche de la fin de saison, devait faire flamber le marché des transferts. Evidemment, pour éviter la surenchère des autres clubs, les Kabyles ont activé dans la plus grande discrétion sur le dossier Berramla, multipliant les contacts avec lui au téléphone. Ils finiront par le convaincre de rencontrer le président Hannachi à Alger. «Je devais rejoindre l’EN espoirs pour partir en Ethiopie. Dès mon arrivée à l’aéroport Houari Boumediene, une personne m’y attendait. Ensuite, nous sommes partis à Bab Ezzouar et c’est là-bas, dans un bureau, que j’ai rencontré pour la première fois Hannachi. D’emblée, l’homme m’a marqué par son discours. A ma sortie du bureau, je lui ai promis de négocier de manière concrète avec lui, dès mon retour d’Addis-Abeba», nous apprend Berramla. Pressé de conclure ce transfert, Hannachi lui fixe un rendez-vous dès son retour d’Ethiopie. «On m’a envoyé deux billets d’avion, car j’avais exigé que mon frère Hamid m’accompagne pour m’assister dans les négociations.»

L’offre qui a séduit les Berramla
Cette fois, c’est à l’hôtel Mercure que le rendez-vous est pris. En président futé et maîtrisant parfaitement son sujet, Hannachi fait d’emblée une offre mirobolante qui fera succomber Berramla et son frère. Un contrat d’une durée de deux ans, une prime de signature de 900 millions et un salaire alléchant. Telle est l’offre du président kabyle que Berramla acceptera sans aucune hésitation. L’accord de principe ayant été arrêté, les deux parties déjeunent ensemble dans le restaurant de l’hôtel Mercure. Ensuite, le joueur et son frère sont rentrés à Oran par le dernier vol de la journée. Un jour inoubliable pour les Berramla qui étaient très heureux de la réalisation de cette transaction. «C’est un choix qui a été mûrement réfléchi, affirme l’international espoir. Pour être franc avec vous, la JSK avait une priorité par rapport aux autres clubs qui me voulaient. Harkat et Bengorine ne m’ont dit que du bien de ce club. Outre l’avantage d’améliorer ma condition sociale, il y a la possibilité de remporter des titres. Seule la JSK peut m’offrir ces opportunités.» Dès l’annonce de son transfert, certains nostalgiques du Jumbo Jet iront jusqu’à prétendre que la JSK détient en Berramla un nouveau Ali Fergani, une comparaison qui pèse lourdement sur les épaules de l’artiste oranais. «Même moi, je n’ai pas vu jouer Fergani qui est un monument du football algérien», soutient Berramla qui est né en 1985 et visiblement fier d’être assimilé à Fergani.

Un transfert qui a fait beaucoup de mécontents
En finalisant avant la fin de la saison dernière avec Berramla, le président Moh Chérif Hannachi a pris tout le monde de court, notamment Serar qui avait pourtant obtenu l’assurance d’un proche du joueur oranais qu’il ne signerait qu’à l’Entente. Le boss sétifien tenait absolument à l’enrôler. Quand il apprit que Berramla avait conclu avec Hannachi, il appela son frère. «Je vous donne le double du montant offert par Hannachi», lui promet-il, mais pour Berramla, qui confirme que Serar était prêt à surenchérir, «une parole donnée vaut plus que tout l’or du monde, car dans la vie il n’y a pas que l’argent». L’autre président déçu fut Yahia Hassani du CRB qui, depuis plus d’une année, le courtisait au point où, lors du mercato hivernal, sa venue au CRB avait failli être concrétisée. Mais la veille du rendez-vous où Mehiaoui allait finaliser avec Hassani, il y a eu la tragédie qui frappa la famille du président asémiste. Le transfert capota, mais Hassani croyait que Berramla ne pouvait lui échapper, surtout qu’il lui avait remis une avance que le joueur lui a restituée plus tard. Cependant, il n’y a pas que Hassani et Serar qui étaient déçus de n’avoir pas mis le grappin sur un tel talent. Pour Youssef Djebbari, la déception fut plus grande. Les Hamraoua n’ont pas admis que leur président n’ait pas pu s’attacher les services d’un joueur qu’il rencontrait tous les jours, du fait qu’il est de la même ville. Critiqué par les supporters mouloudéens, Djebbari accusera Berramla de trahison, ce qui a irrité le joueur qui, pour se défendre, répliquera : «Djebbari n’a rien fait pour m’avoir dans son équipe. Ce n’est pas parce qu’on a dîné ensemble qu’il pensait que j’allais signer au MCO. Moi, je voulais des garanties, ce que Hannachi m’a donné.» Pour la petite histoire, Tayeb Mehiaoui fut le dernier président (alors qu’il devait être le premier) à apprendre le transfert de sonpoulain à la JSK. «Mehiaoui m’avait appelé au téléphone plusieurs jours après pour savoir si c’était vrai. Evidemment, je lui ai confirmé cette information. En guise de réaction, il m’a reproché de m’être empressé de finaliser avec Hannachi. Pour Mehiaoui, il fallait attendre la fin de la saison.» On apprendra plus tard que Mehiaoui avait promis Berramla à son ami Hassani, une fois la saison terminée. En contrepartie, le boss belouizdadi était prêt à lui donner un coup de main pour sauver l’ASMO de la relégation. Finalement, les calculs de Mehiaoui ont été faussés. C’est la faute à… Hannachi qui n’a pas attendu la fin de la saison pour convaincre cet élément doué d’une technique hors pair et d’une puissance de tir incroyable. Si son intégration à la JSK se fait lentement (car il est timide !), les fans kabyles vont se régaler, car comme tout produit formé et livré par la grande école asémiste, Tayeb Berramla est la future «star» du football algérien.

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Message par espoir Mer 21 Nov - 12:20

Quand Berramla ne tourne pas…
La formation kabyle souffle le chaud et le froid, ces derniers temps. Ceux qui suivent de près ses sorties ont dû certainement remarquer que quelque chose qui tournait à plein régime au début de la saison est en train d’enregistrer un déclin considérable, d’où la prestation mi-figue mi-raisin de l’avant-garde kabyle à Chlef et même lors du dernier match face à l’Entente de Sétif où, en dépit de la victoire, les camarades de Chaouchi ont trouvé des difficultés à maintenir le score en leur faveur après avoir gâché un grand nombre d’occasions.
Ce compartiment qui connaît cette baisse de régime, c’est le milieu de terrain constructeur, un rôle assuré jusque-là par le métronome oranais Tayeb Berramla qui est en train de baisser de régime. Un fait qui a, du coup, ébranlé l’équipe qui trouve toutes les peines du monde, ces derniers temps, à imposer son jeu. Il est vrai que certains peuvent l’expliquer par le fait que le jeu produit par les poulains de Saïb est de plus en plus connu, ce qui permet aux équipes adverses de faire tout pour les contrer, mais lors du match face à l’ASO, l’absence en première période de l’ex-Asémiste a complètement déstabilisé l’équipe. D’ailleurs, c’est dans ce sens que le président Hannachi a expliqué la défaite des Kabyles (2-0) en s’attaquant ouvertement aux dirigeants de la FAF.
Le tournoi de Tunis l’a épuisé
En effet, parti à Tunis avec la sélection nationale espoirs pour prendre part à un tournoi maghrébin, Berramla est revenu deux jours avant ladite rencontre face à Chlef éreinté, lui qui joue pratiquement sans arrêt depuis qu’il a atterrit dans la maison kabyle. C’est d’ailleurs ce qui a poussé son coach à le mettre sur le banc et prendre un risque que l’équipe a payé cher à l’issue des 90 minutes de jeu. Le président kabyle, en connaisseur, avait déclaré à l’issue de la rencontre que l’absence de Berramla a largement perturbé le groupe, louant le mérite de son meneur de jeu dans le bon fonctionnement du système offensif de la JSK. Il est même allé jusqu’à accuser les responsables de l’EN espoirs et ceux de la FAF de tentative de déstabilisation, les menaçant de les priver à l’avenir des joueurs de son équipe.
Jeudi passé face à l’Entente, Berramla était dans un jour sans, il affichait une petite forme et donnait l’impression d’être déconcentré. Il faut dire qu’il avait à lui seul deux occasions en or, pouvant ainsi tuer le match, mais il a laissé passer deux possibilités qui auraient permis à son équipe de se mettre complètement à l’abri d’une possible réaction des Sétifiens.
Les supporters : «On est certains qu’il reviendra fort»
Pour leur part, les ultras kabyles savent pertinemment que leur nouveau meneur de jeu est tellement pétri de qualités qu’il se ressaisira prochainement. «C’est un joueur intelligent, il joue simple et juste, son jeu peut paraître pour certains un peu lourd, mais c’est là justement que réside la force de ce joueur. Il sait toujours prendre le temps qu’il faut pour ensuite servir sur un plateau les attaquants. D’ailleurs, il est derrière plusieurs buts marqués par l’équipe jusque-là. Cela dit, depuis deux rencontres, il est resté muet, ce n’est pas à cause de cela qu’on va se mettre en colère contre lui. Au contraire, on va le soutenir car on est certains qu’il reviendra fort.» Un avis d’une frange de supporters que beaucoup d’ultras partagent, ce qui va motiver encore plus le joueur, qui est bien parti pour écrire son nom en lettres d’or dans l’histoire du club phare du Djurdjura.
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Message par espoir Mar 5 Fév - 1:34

Berramla le créateur retrouvé
Là où il y a un nom qui commence par un «B», il y a une création ou un fait marquant. En France, Marcel Bich (fondateur de Bic) a rapproché le monde en créant le stylo à bille. En Amérique, Graham Bell a fait mieux, il a inventé le téléphone. Un certain William Boeing a relié le monde en facilitant le voyage aérien par avion. Bill Gates (le patron de Microsoft) a fait du monde un petit village en rendant Internet accessible à toutes les bourses.
En Algérie, Tayeb Berramla est en train de bien cordonner le jeu de son équipe, leader du championnat avec quatre points d’avance sur son poursuivant immédiat. Tous ceux qui l’ont vu jouer jeudi dernier affirment que l’ancien Asémiste a du Belloumi dans le geste. Habile des deux pieds, avec une judicieuse vision du jeu, l’ex- international espoirs est crédité d’une bonne performance avec, à la clé, deux passes décisives. Berramla s’est aussi distingué devant le MCS ainsi que face à l’USMA, ce que fait de lui l’homme en forme des Canaris. Ambitieux, l’enfant de l’Oranie a fixé comme objectif, lors de son éviction de l’équipe nationale espoirs, avant les Jeux africains, qu’il sera avec les A en fin de saison, un objectif pas encore atteint. Alors il vient de se lancer un nouveau défi, celui de permettre à Hemani de terminer meilleur buteur du championnat (voir entretien), mais son vœu le plus cher est évidemment de finir la saison en haut du podium.
«TB», qui peuvent aussi se traduire en «Très Bon», est sur la bonne voie, pour peu qu’il continue sa marche en avant.

«Avec moi, Hemani finira meilleur buteur»
Pour sa première saison en Kabylie, le meneur de jeu des Canaris s’affirme de match en match. Il promet de monter en puissance et de briller davantage.
- Vous êtes sans doute l’homme en forme de la JSK ces derniers temps. Vous n’allez pas nous contredire…
- (Rires.) Non, je pense que c’est un peu exagéré quoique je sois flatté par ce compliment. Cependant, il faut se mettre à l’évidence que c’est toute l’équipe qui est en forme et pas uniquement moi.
- Quelle modestie !
- (Il rit encore.) Non, ce que je dis est vrai. La preuve, notre équipe a fait une sacrée démonstration jeudi dernier face à la JSMB. Et pour être sincère avec vous, ce qui m’intéresse le plus, c’est de voir mon équipe gagner sur le terrain et faire plaisir à nos supporters. Quant à mon rendement personnel, je préfère le reléguer au second plan.
- Vous n’avez pas raté l’occasion jeudi d’empocher une énième victoire, contrairement à l’ESS qui s’est fait accrocher à domicile. Pensez-vous avoir pris une sérieuse option pour le titre lorsque l’on sait que l’écart qui vous sépare de votre concurrent direct pour le sacre est de 4 points ?
- Cet écart n’est pas sécurisant pour nous, alors nous devons encore le creuser davantage pour aborder la fin du championnat sans pression et je pense que nous le ferons.
- C’est prétentieux de l’affirmer avant que cela ne se concrétise sur le terrain…
- Non, je ne suis pas prétentieux, mais j’ai tellement confiance en mon équipe que je n’imagine pas un seul instant que le titre va nous échapper. Cela dit, nous continuerons de travailler d’arrache-pied afin de mettre le maximum d’atouts de notre côté.
- Mais cela passera d’abord par une victoire ce week-end face à l’OMR au stade du 20-Août…
- Absolument. Mais ça sera un match très difficile, car l’OMR est une équipe coriace qui est allée gagner son match à Bordj. Mais je pense que nous avons les moyens de réaliser un bon résultat au 20-Août.
- Allez-vous vous contenter du point du nul ?
- Nous allons faire tout notre possible pour avoir les trois points. Maintenant, si c’est un match nul, nous ne cracherons pas sur un point, surtout si l’ESS ne gagne pas à Chlef.
- Revenons à vous. On vous a vu évoluer au milieu du terrain tantôt axial tantôt sur les côtés. Où vous sentez-vous à l’aise ?
- Je suis à l’aise partout, mais il est vrai que je le suis encore plus quand je joue derrière les deux attaquants.
- Mais vous n’arrivez plus à marquer depuis une dizaine de matches...
- Parce que tout simplement je passe mon temps à faire des passes décisives pour Hemani (rires). D’ailleurs, avec moi il finira meilleur buteur. Je vous le promets.
- L’idéal serait de marquer et de faire marquer Hemani…
- Alors ça sera incha Allah à partir du prochain match face à l’OMR. Je compte à l’occasion débloquer mon compteur buts.
- Vous possédez une belle frappe, mais vous ne parvenez pas à cadrer vos tirs. Pourquoi ne travaillez-vous pas davantage ce don à l’entraînement ?
- Mais je le fais à chaque fois. D’ailleurs, le staff technique réserve deux fois par semaine des séances spécifiques durant lesquelles j’essaye de perfectionner ma frappe. Je pense que je ne vais pas tarder à en récolter les fruits.
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Message par espoir Dim 13 Avr - 11:40

Berramla : «Nous serons officiellement champions à Sétif»
Le meneur de jeu de la JSK nous parle du match de coupe d'Afrique qu'il a disputé en tant que remplaçant, aborde la prochaine rencontre contre l'Entente, et se montre confiant quant à la suite du parcours en C1.
Sans doute content de rentrer au bercail ?
Bien évidemment, nous avons effectué un long périple d'une semaine loin du pays et de nos familles. Nous sommes vraiment fatigués et harassés, la chaleur et les différents déplacements nous ont épuisés et c'est avec un grand soulagement que nous rentrons au pays. Nous profiterons de ces quelques jours de repos avant de reprendre avec le championnat puis cet autre déplacement qui nous attend au Cameroun.
Vous n'étiez pas titulaire face à l'Ashanti et votre incorporation à la fin de la première période a fait suite à la blessure de Wassiou. Comment avez-vous vécu cette rencontre ?
La rencontre était difficile avec la chaleur et l'arbitrage partial. J'ai fait mon entrée avant la fin du premier half en remplacement de Wassiou. Je pense que j'ai fourni le rendement escompté et accompli la tâche que m'avait assignée l'entraîneur. Même si je me trouvais sur le banc, j'étais prêt à aider mes coéquipiers à n'importe quel moment du match, ce qui m'a permis de tenir mon rôle.
Votre adversaire aux 1/8 de finale sera le Coton Sport, que la JSK a affronté la saison dernière. Qu'avez-vous à dire à ce propos ?
J'ai entamé mon parcours africain avec la JSK dans la phase des poules de la dernière édition. Je n'ai donc pas joué face au Coton Sport, notre adversaire au prochain tour. Mes coéquipiers qui ont eu à l'affronter la saison dernière m'ont dit que c'est une très bonne équipe, avec de bonnes individualités.
Vous vous attendez donc à un match difficile face aux Camerounais, plus difficile que celui face aux Ghanéens…
Ce sera un match difficile à négocier et à chaque fois que la compétition avance, on rencontrera des adversaires encore plus forts. On fera en sorte de bien négocier cette joute aller qui se disputera au Cameroun avant le retour qui se déroulera deux semaines plus tard à Tizi Ouzou.
Avant ce déplacement, c'est l'ESS qui vous attend vendredi en championnat. Est-ce le match qui décidera du titre, selon vous ?
C'est une rencontre difficile et on ira avec la ferme intention de gagner, ou au mois revenir avec le point du match nul. Et je suis persuadé qu'on sera officiellement champions dès ce vendredi à Sétif.
En cette fin saison, la concurrence fait rage au sein de la JSK au milieu du terrain. Vous êtes pratiquement titulaire indiscutable depuis le début de saison, un peu moins avec le retour en force de Wassiou. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet ?
Si une équipe veut progresser, il n'y a pas mieux que la concurrence pour cela. Cela pousse chaque élément à travailler plus et à batailler dur pour gagner une place, ce qui influe positivement sur le rendement de toute l'équipe. Que ce soit moi ou Wassiou, le plus important, c'est que le jour du match le meilleur joue. L'essentiel est d'avoir une équipe qui gagne.
Le fait que l'entraîneur fait tourner l'équipe, on retrouve rarement le même onze deux fois de suite, serait-ce le secret de la réussite de la JSK, malgré la jeunesse de son effectif ?
La JSK n'est pas seulement une équipe de onze joueurs, c'est un groupe de jeunes joueurs, où chacun encourage son camarade. Il y a un vrai esprit de groupe, c'est tout le monde qui s'entraide. On est un groupe soudé qui travaille sérieusement, des ingrédients qui ont fait de la JSK le leader avec 9 points d'avance, alors que beaucoup ne nous y attendaient pas. Mais nous, dès les premiers matchs de la saison, nous savions que nous allions avoir notre mot à dire. Maintenant, à nous de le confirmer ce vendredi, car il me tarde de gagner mon premier titre de ma jeune carrière.
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